La Seine-Saint-Denis, Stains

Suppression de la subvention à la crèche Louise Michel de Stains : honte à la gauche

12825435_10207138879005276_1022990552_nLe Maire de Stains et Conseiller départemental était absent lors du vote à Bobigny. Pire, par procuration, il s’est abstenu sur le budget au lieu de monter au créneau et voter contre la suppression de cette subvention vitale pour le fonctionnement de la crèche Louise Michel et les bambins qui la fréquentent.

Lorsque nous lui avions posé la question en conseil municipal lors du vote du budget de la ville, il a soigneusement botté en touche, préférant attaquer frontalement l’opposition.

A croire que notre question était gênante…

 

La Seine-Saint-Denis, Saint-Denis, Stains

Dimanche, pas de détour, dès le premier tour, votez 3, fautes voter Mugerin-Nicol

Avant de respecter un silence radio jusqu’à dimanche soir je veux appeler tous les habitants du canton Stains et St Denis Nord-est à voter et faire voter pour notre binôme aux élections départementales. Si vous êtes contre le cumul des mandats, pour être fiers de notre territoire, pour une alternance ferme et crédible dans notre département, sanctionner Hollande Valls et Taubira mais aussi Taibi et Paillard, dimanche votez pour Evelyne Nicol et moi-même. Car nous avons rassemblé toute les forces d’opposition au système communiste qui gouverne nos villes, parce que nous avons une ligne claire et unique, parce que nous voulons cesser d’assommer les sequano-dionysiens d’impôts, sans rien abandonner en matière de sécurité, de solidarité mais également d’équité. Nous nous barrerons pour le logement, les transports. Rassemblés autour de l’UMP, de l’UDI et de Stains pour tous, pour vous nous sommes prêts!!

DIMANCHE VOTEZ 3!! VOTEZ MUGERIN-NICOL.

La Seine-Saint-Denis, Saint-Denis, Stains

Notre programme pour le département

UNE AUTRE MAJORITE POUR LA SEINE SAINT-DENIS

 LES IDÉES FORCE :

–          Création de la Compétence Sécurité. Amélioration de la tranquillité publique en soutien des Contrats Locaux ou intercommunaux de Sécurité.

–          Améliorer l’instruction des dossiers des allocataires pour dissuader de la fraude et permettre une réinsertion sociale plus rapide, avec le recrutement de 200 chargés d’insertion.

–          Gel de la Fiscalité départementale. Mettre fin au moratoire infligé aux villes.

–          Révision du plan Petite Enfance 2015 : objectif de 7 000 nouvelles places en crèches en dotant, chaque ville d’une structure départementale, et en accordant des aides aux crèches privées, publiques, associatives.

–          Réduire le temps d’attente des services de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH)  pour l’obtention des allocations (objectif 3 mois maximum) et des cartes de priorité et de transport.

–          Baisser les tarifs de la cantine pour lutter contre l’augmentation de +100% du prix des repas.

LE PROGRAMME PAR COMPÉTENCE :

Sécurité : Création de la Compétence Sécurité.

Amélioration de la tranquillité publique en soutien des Contrats Locaux ou intercommunaux de Sécurité

1.   Subventions pour la création ou le renforcement d’effectifs de la Police Municipale et de la vidéo-protection dans nos communes

2. Développer les initiatives impliquant la population pour améliorer la tranquillité publique (du type « voisins vigilants »)

  1. Prévention de la délinquance

Interventions dans les collèges par des professionnels sensibilisant et informant sur les risques (racket, drogues, trafics, violence,…)

Médiateur : apaiser les tensions ; repérer les comportements déviants

Prévention spécialisée / aide sociale à l’enfance : Meilleure formation des «familles  d’accueil» ; mise en place d’un système d’alerte contre la maltraitance des enfants.

  1. Assistance aux victimes en Seine Saint-Denis : création d’une structure départementale
  • Permanences dans les commissariats ; soutien psychologique mobile

Fiscalité

  1. Gel du taux d’imposition sur le foncier bâti
  2. Gel du taux sur les Droits de Mutation à titre onéreux
  3. Exonérations aux activités professionnelles et commerciales afin de soutenir l’activité de nos centres villes
  4. Mettre fin au moratoire infligé aux villes.

Efficacité

  1. Audit financier et de gestion de l’ensemble des services départementaux
  2. Élaboration d’un nouveau budget en réorientant les nouvelles priorités du Département
  3. Optimisation du patrimoine immobilier afin de créer les « Maisons du Département », qui centraliseront l’accueil des habitants dans les 21 cantons de Seine Saint-Denis.
  4. Renégocier la dette toxique auprès des banques

Solidarité

  1. Pour la création de résidences séniors
  • Subventionnement par le Conseil Général de résidences publiques, privées et associatives
  1. Réduire le temps d’attente des services de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH)  pour l’obtention des allocations (objectif 3 mois maximum) et des cartes de priorité et de transport.
  2. Améliorer l’instruction des dossiers des allocataires pour dissuader de la fraude et permettre une réinsertion sociale plus rapide, avec le recrutement de 200 chargés d’insertion. Cette dépense est évaluée à 6 millions d’euros. Sur la base de 12 réinsertions par an, par chargé d’insertion, cela représente 2 400 allocataires de moins (12.3 millions d’euros) à charge pour le Département, soit, au final, une économie de 6.3 millions d’euros.

Petite Enfance

  1. Objectif : 7 000 nouvelles places en crèches afin de parvenir ainsi à 20 000 places d’accueil collectif. Accorder des aides aux crèches privées, publiques, associatives.
  2. Proposer dans certaines crèches un accueil le soir et le week-end.
  3. Augmenter l’Allocation Départementale Accueil Jeune Enfant (ADAJE) de 20%.

Développement durable

1.  Équiper 80% au moins du parc VL du Département de voitures et bornes électriques,

2.  Développer l’attractivité et l’équipement des 7 parcs départementaux, pour la biodiversité et la qualité de vie en Seine-Saint-Denis,

3.  Généraliser l’usage des « automates de tri » qui permettent de responsabiliser et récompenser les usagers, en leur délivrant un ticket pour réduire leurs charges locatives,

  1. Dégager des économies de fonctionnement en matière de développement durable, grâce à un audit qui mesurera la performance du Département dans ce domaine,
  2. Proposer systématiquement une participation financière du Département, dans le cadre d’une rénovation urbaine relative à l’ANRU, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Santé

  1. Regrouper les médecins qui le souhaitent dans des maisons médicales pluridisciplinaires
  • Aide financière pour construction et équipement
  1. Rompre l’isolement des praticiens en développant les réseaux professionnels afin de mieux coordonner la prise en charge des patients
  • Miser sur la télémédecine
  1. Informer les professionnels de santé qui souhaitent venir dans le département grâce à des lieux centralisant les différentes aides existantes
  1. Accompagner les médecins dans leur installation : faciliter l’accès au Logement pour les internes, aide à la recherche de locaux, aide pour trouver un travail pour les conjoints, solutions de garde des enfants.

Jeunesse – Collèges

1.  Baisser les tarifs de la cantine pour lutter contre l’augmentation de +100% du prix des repas

  1. Révision du plan Collèges 2015-2020 afin qu’il bénéficie à tous les collégiens (du secteur public ou bien privé) du Département.
  1. Mise en place d’un réseau « Espoirs Jeunesse »
  • Accompagnement et tutorat par les Cadres Administratifs du Département, qui suivront chaque année un ou plusieurs jeunes étudiants afin de leur ouvrir le réseau des entreprises publiques et privées qui travaillent pour le Conseil Départemental.

Sport et Culture

  1. Rétablissement des subventions aux clubs sportifs
  1. Mise en place d’un plan pluriannuel réaliste pour le soutien à la réhabilitation – reconstruction des équipements sportifs municipaux. La fin au moratoire infligé par le Département aux villes de Seine-Saint-Denis depuis 4 années.
  1. Poursuite des partenariats avec les acteurs de la Culture après la remise de l’audit financier et de gestion

Démocratie locale

Tous les ans, l’Exécutif Départemental rencontrera le Maire et ses équipes des 40 villes de Seine Saint-Denis.

  • pour un échange constructif et l’élaboration d’un partenariat utile aux habitants de chacune de nos villes.
La Seine-Saint-Denis, Stains

A Stains, un nouveau collège mais pas de savon

Extrait du Parisien SEINE-SAINT-DENIS de ce jour.

Douze nouveaux collèges mais pas de savon dans les toilettes
Alors que les élèves étrennent depuis la rentrée des établissements flambant neufs, l’équipement des sanitaires pose question. Pour éviter les dégradations, les enfants n’ont pas de quoi se laver les mains.

AURÉLIE LEBELLE

LES COLLÉGIENS de Seine-Saint-Denis sont-ils des « sans-savon » ? Et bien oui. Du moins en partie. Dans les douze collèges* livrés à la rentrée scolaire par le conseil général, pour se laver les mains, il faut aller dans les toilettes… des étages. Là, on trouve du savon, comme dans n’importe quel bâtiment public ou entreprise. Par contre, dans les principaux blocs sanitaires installés dans la cour de récréation, les collégiens sont invités à se laver les mains… à l’eau !
Pendant toute la durée des travaux estivaux, les chefs de chantier assuraient pourtant que des blocs savons allaient être installés à la toute fin pour éviter les vols. Mais il n’en est rien. A Louise-Michel, à Clichy-sous-Bois, le jour de la rentrée scolaire, ou bien à l’inauguration du collège international de Noisy-le-Grand, quelques jours après, les toilettes n’étaient toujours pas équipées en substance savonneuse. Au conseil général, le président PS Stéphane Troussel assure ne pas être au courant de ce détail. Mais il reconnaît que c’est un problème et qu’il faudrait y remédier.
Pourtant, lors de nos visites estivales, un cadre du département nous a assuré qu’il s’agissait là d’une décision très ferme. « Quand on met des blocs savons, ils sont cassés en moins de deux et peuvent même servir d’arme aux élèves, argumentait-il. Du coup, nous avons décidé de ne pas en mettre. Ils peuvent se laver les mains dans les étages. » Et de poursuivre que de nombreuses réunions avaient permis de mettre au point des toilettes de collèges « nouvelle génération » pour minimiser les éventuels problèmes : portes vitrées du bloc sanitaire pour permettre à un surveillant de jeter un œil pendant les récréations, cuvette sans lunette afin d’éviter les dégradations et pour des questions d’hygiène, portes de WC qui s’ouvrent automatiquement si elles ne sont pas verrouillées, dévidoir à papier à côté des lavabos, et pas dans chaque cabine, ce qui empêcherait les enfants de boucher les toilettes etc.
Mais l’absence de savon n’est pas uniquement liée aux nouveaux collèges. Dans tout le département, ce sujet revient régulièrement sur la table, souvent via des parents d’élèves agacés. « Chaque année, dans chaque collège et lycée du département, ce problème revient au moins une fois au cœur des discussions, notamment lors du Comité d’hygiène et de sécurité », assure Mathieu Logothétis, le responsable départemental du syndicat enseignant Snes-FSU. « C’est une vraie question, un peu insoluble, qui tourne autour du savon et du papier toilettes, bien souvent absents dans les établissements. » Ce qu’il dénonce ? Les problèmes d’hygiène évidents d’un côté, les dégradations « très régulières » et les nombreux WC bouchés de l’autre. Du coup, la politique en matière de savon et de papier toilettes se ferait un peu « à la carte », selon lui. « Parfois, on demande aux collégiens d’apporter des mouchoirs et il n’y a pas de papier toilettes », explique-t-il par exemple. En fonction du collège, et de l’attitude des élèves, le principal et les parents décident d’une marche à suivre.
Là, dans les douze nouveaux collèges livrés à la rentrée, la décision a visiblement été prise en amont. « Ils ont choisi la sécurité au détriment de l’hygiène, râle Rodrigo Arenas, le président de la FCPE 93. Ce n’est pas acceptable de laisser de côté les questions d’hygiène, surtout quand on les enseigne en classe. Il faut trouver une solution durable, proposer une alternative. Quand on voit que le conseil général a pris un contrat de maintenance pour tout le matériel numérique, on ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas en mettre un en place avec des distributeurs de savon ! »

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La Seine-Saint-Denis, Stains

Inauguration du collège Barbara de Stains

Un nouveau collège vient d’être inauguré à Stains.

Fini le collège Maurice Thorez (vieux patron du PCF), bienvenu au collège Barbara (grande chanteuse française).

Actuellement 450 enfants sont scolarisés dans cet établissement construit à toute vitesse en PPP par le Conseil Général du 93.

Pour rappel les PPP ce sont les partenariats public privé qui permettent à la collectivité de gagner de l’argent au départ sans être totalement propriétaire des lieux. A tester à la longue.

Une bonne nouvelle pour les jeunes de Stains contraints jusqu’ici à étudier dans des infrastructures vétustes, datant de 1969, mal entretenu par les majorités de gauche successives.

Si je peux accorder un satisfecit à ce nouveau collège tout en émettant quelques réserves sur la longévité des matériaux utilisés, c’est avec dégoût que je constate le chemin qu’emprunteront les collégiens : le sentier tout juste construit traverse un no-man’s land inquiétant, parsemé de déchets et autres pneus usagers.

Le provisoire n’excuse pas tout : nos enfants doivent être respectés, c’est inadmissible.

Autre aberration la carte scolaire : lorsque dans certaines zones du clos st lazare les enfants sont affectés au collège Joliot-Curie plus lointain, des élèves du Globe sont eux scolarisés à Barbara en limite ouest de Stains. L’académie a ses raisons que la raison ignore.

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Stains

Tribune du Groupe Stains pour Tous – Mai 2014

Décidément, 2014 restera, à Stains, l’année politique de toutes les premières. Après les municipales où la gauche stanoise a enregistré un net recul face à notre liste, les européennes où les Stanois ont mis le Front national en première position.

Ces  résultats sont non seulement un rejet de l’Europe telle qu’elle fonctionne aujourd’hui, un camouflet envers François HOLLANDE, qui a autant déçu qu’il a promis, mais aussi un signal d’alarme lancé par les Stanois à leur municipalité.

Les 2 élections, pourtant bien différentes, expriment une même volonté de changement véritable à tous niveaux.

Oui, la montée du FN est une tendance nationale mais à Stains, elle résonne comme le rejet d’une gauche archaïque, encore envasée dans une « lutte des classes » en laquelle plus personne ne croit et qui inscrit Stains dans le passé.

Ce sont les couches populaires qui ont voté. Ce sont ceux que les communistes appellent « ouvriers » qui ont lancé un cri d’alarme pour plus de sécurité et de justice, pour une meilleure qualité de vie, et une protection de la Nation.

Je condamne le vote d’extrême droite (comme celui d’extrême gauche) car ils sont dangereux. Mais je comprends le mécontentement qu’il exprime et cette volonté d’un retour aux valeurs fondamentales qui ont fait la force de notre pays, avec et pour le peuple : le mérite, l’équité, la famille, le respect des plus anciens, la responsabilité, etc…

Azzédine TAIBI et son équipe ont bien compris que Stains avait changé et que le discours de gauche habituel sonnait creux désormais : ils s’intéressent désormais à la sécurité et demandent à être reçus par le Préfet pour que Stains soit intégrée au dispositif des ZSP (Zone de Sécurité Prioritaire). Nous soutenons la démarche sans condition puisque l’équipe Stains pour tous s’était engagée à faire la même demande et réitérons la demande expresse faite au Maire d’être à ses côtés pour réclamer plus de moyens à l’Etat en matière de sécurité.

Mais chassez le naturel, il revient au galop : toujours aucune volonté de la part du Maire communiste de Stains de mettre en place une véritable Police Municipale dotée en moyens et en effectifs. Toujours cette tendance à chercher des excuses aux actes délinquants avant de les condamner et écouter les victimes. Toujours ce même autoritarisme aveugle, pour fixer les limites de l’acceptable. Imposer la réforme des rythmes scolaires : acceptable. Défendre la vie : inacceptable. Utiliser l’argent des Stanois pour financer un journal communiste : acceptable. Mémoire du Général de Gaulle : inacceptable.

Charles de Gaulle semble être persona non grata à Stains : considéré comme libérateur de la France à la fin de la 2nde guerre mondiale, le Maire ne l’a jamais cité lors de son discours le 8 mai. Le 18 juin, pas de commémoration de l’Appel lancé depuis Londres par la Ville.

J’invite donc tous les Stanois qui, comme nous, veulent résister à la dictature de la pensée, à nous rejoindre pour un dépôt de gerbe le 18 juin à 18h30, au Monument aux Morts.

Julien MUGERIN